C’est parti et on rira bien (7/7)

Lancement final en cette belle journée qui n’est pas la fin du monde, sur Genève, au centre ville essentiellement.

Ayant obtenu l’autorisation de Thierry Feuz pour utiliser une de ses fabuleuses peintures lundi, il restait à préparer mardi la nouvelle homepage ainsi que quelques corrections linguistiques, effectuées via la très utile application Rosetta de mon collègue Marco. Evidemment, il a fallu qu’on s’amuse à implémenter une connexion avec Twitter et ceci en l’espace de quelques heures. Samuel, brillant et patient développeur, s’est amusé avec l’API pour intégrer discrètement la possibilité de “twitter” directement depuis HyperWeek tout comme suivre l’activité sur la plus extraordinaire plateforme de microblogging. Donc ce matin, quelques directives et re-correction de la page décrivant lesfonctionnalités de HyperWeek (si vous voyez des grosses erreurs en anglais, dites-moi vite !). Puis meeting chez un des prestigieux VC de la place qui se demande pour quelle raison je n’ai pas participé à la deuxième édition de Seedcamp. Ce sur quoi je réponds: il fallait lancer HyperWeek maintenant – la rentrée – et que j’avais opté pour garder 100% d’énergie pour effectuer les derniers changements importants. Le timing est une notion si spéciale dans le monde de l’entrepreneurship. Le temps devient élastique et … cassant. Tout est dans l’art de savoir le manipuler en effectuant les bons choix, ce qui n’a pas forcément été le cas entre avril et juin, mais c’est une autre histoire. Ceci dit, je regrette après coup de ne pas avoir inscrit HyperWeek car cette plateforme de mise en relation et de fasttracking semble excellente.

Suite au meeting qui a bien duré une heure trente et généré un deuxième entretien pour dans un mois, j’ai foncé au grütli pour y trouver Samuel en train de manger avec Pascal du label Super8, par hasard. Donc derniers correctifs sur la terrasse au soleil, avec les excellents commentaires de Pascal, parfait pour dé-concentrer. Et voilà qu’arrive ma femme, avec mes enfants, et le chien. Je rebriefe une dernière fois Samuel, prends cette jeunesse, fonce à la gare pour essayer de voir Olivier de Fairtilizer, qui part je ne sais où, et que je ne trouve point, mon iPhone ayant rendu l’âme entre temps, pour revenir à la Plaine, faire un peu de puces, achetant deux-trois gadgets pour occuper les enfants, retour à la maison pour y déposer le chien, suivre les corrections, faire 6 mails de remarques, – pauvre Sam – et là, je ne sais pas ce qui me prend. Je twitte que c’est ouvert alors que je dois aller voir un spectacle de la Bâtie, avec cette chère famille. Donc départ en retard pour retrouver ma femme, puis traversée de Genève assez pénible, les nerfs à vif, pour finalement arriver à la salle. Et là, évidemment dilemne. Dois-je repartir dare-dare pour assurer ce lancement ou simplement me détendre ? J’ai pris l’option deux, car je sais que cette nuit risque d’être longue.

Voilà, je vous invite à découvrir -et vous enregistrer sur- HyperWeek, réalisé de manière compulsive et très réfléchie en même temps.

Laisser un commentaire